Depuis un certain temps, le sport universitaire est en train de sombrer. Plus de résultat. Au contraire il est en train de traverser des moments difficiles pour ne pas dire qu’il n’est plus représentatif bien que les ressources humaines existent.
M.A
C’est au moment où le campus d’Abomey Calavi dispose d’une belle infrastructure sportive que les différents sports tournent au ralenti ou sont carrément en train de mourir. Si j’ai bonne mémoire tout a commencé au temps de dame Christelle Houndonougbo, qui, voulant politiser et imposer son diktat au bureau de l’Ese d’alors, s’est confrontée à une opposition farouche du bureau en place. Encore que c’était contre les textes.
Bonjour donc les tiraillements. Ce qui n’a pas été facile. Dans la foulée, les subventions et certaines activités sportives sont arrêtées. Pour ne pas dire qu’elles tournaient au ralenti.
Après le départ de cette dame, on pensait que la crise est terminée et les étudiants vont redonner vie aux activités sportives. Non, non et non. Le nouveau départ n’a rien changé.
Au basketball cette année, de forfait en forfait, ils ont dû démissionner. En handball pour le championnat qui vient de terminer, ils ont occupé la dernière place avec zéro point zéro match gagné, même pas de joueurs remplaçants sur les bancs. En volleyball, seul Dieu sait ce qu’ils sont devenus. En football, ils deviennent rares comme la vérité chez la femme (rire). Et dans les autres sports collectifs et individuels ? Quel lendemain pour le sport universitaire?
Sûr et certain que ce ne sont pas les ressources humaines qui manquent mais, cela pourrait s’expliquer par une mauvaise politique sportive.
Que les autorités de cette maison revoient leurs copies sinon le sport universitaire est sur une piste glissante qui peut coûter cher à la nation. C’est simplement inquiétant !