(Ceci pour la victoire de Koupaki en 2016)
Venus de tous les six arrondissements de la commune de Sèmè-Podji, les jeunes ambassadeurs de la Nouvelle Conscience ont pris part à un séminaire de formation animé par le Professeur Simon Narcisse Tomety dont le thème s’intitule: « Construction de l’indépendance nationale : quels défis pour la jeunesse à l’ère de la Nouvelle conscience. C’était le samedi 22 Août 2015 au Motel « le président » de Sèmè-Podji.
De plus en plus, le concept et la philosophie de la Nouvelle Conscience s’enracinent un peu partout sur l’ensemble du territoire national. Femmes, jeunes et même les personnes âgées de toutes les couches sociales et de toutes les catégories socioprofessionnelles épousent désormais l’idée de la restauration des valeurs de l’éthique et de la morale. C’est le résultat du travail assidu et méthodique de l’école de la Nouvelle conscience, une école mobile qui prône et essaime un changement de mentalité et de comportement.
Le samedi dernier, c’était le tour des jeunes des six arrondissements de Sèmè-Podji de s’approprier les riches enseignements du Professeur Simon Narcisse Tomety. La salle de conférence du motel ‘’Le président’’ où s’est déroulée la formation n’a pas pu contenir tous les participants venus très nombreux de tous les arrondissements de la commune. Pour Abraham Sidokpohou, président du mouvement des jeunes ambassadeurs de la Nouvelle conscience de Sème-Podji, ce sont les multiples qualités de Pascal Irenée Koupaki qui ont séduit les membres de son mouvement et lui-même pour qu’ils adhèrent massivement à ses idéaux. « Notre conscience n’est plus à vendre » a-t-il confié.
C’est pourquoi il a exhorté ses camarades à suivre attentivement la formation que leur dispensait gratuitement le professeur Narcisse Simon Tomety afin qu’ils puissent, en tant que de bons ambassadeurs de la nouvelle conscience, propager la bonne nouvelle. Comme à son habitude, le professeur Simon Narcisse Tomety, très pédagogue, a déroulé un cours magistral voire phénoménal sur le thème du jour. Après avoir fait la peinture du paysage politique, il a démontré pourquoi le Bénin, malgré sa démocratie apprécié en Afrique, ne parvient pas à décoller économiquement.
Pour lui, C’est la culture de prédation qu’à le béninois vis-à-vis du bien public, la méchanceté, la méfiance, la manipulation et le mensonge qui causent le sous-développement du pays. Il a ensuite appelé une nouvelle fois à un changement de mentalité et de comportement en empruntant le chemin de la nouvelle conscience. Une philosophie qu’il a expliquée de fonds en comble aux séminaristes.
Il a invité ces jeunes à évoluer de l’état de simple habitant à celui de citoyen, c’est-à-dire des personnes qui dépassent leurs clivages socioculturels et qui participent pleinement à l’édification de la nation et de l’Etat de droit. Une fois aguerris aux rudiments de la Nouvelle Conscience, ces jeunes ambassadeurs, tels de véritables guerriers, des conquistadors, ont promis se battre pour le triomphe de Pascal Irénée Koupaki en 2016.
Zek Adjitchè ALAFAI