Point de doute que le spécimen de Chinois, laborieux et teigneux qui ont érigé la Muraille de Chine au IIIe siècle av. J.-C. s’est éteint et n’a laissé aucune descendance. Car si ne n’était pas le cas, l’insignifiant tronçon Godomey-Pahou ne peut pas connaitre tant de retard.
Mais en l’état actuel, peut-on encore parler de retard puisque les travaux semblent complètement arrêtés. Le pire est que jamais et à grand jamais les usagers de cet axe ne voient des ouvriers en œuvre. C’est à croire que les travaux sont abandonnés montrant aux béninois qu’il s’agit en fait d’un éléphant blanc en pleine agglomération au nez à la barbe de trois cités majeures dont Cotonou, Godomey et Pahou.