La FBI activement à ses trousses.
Alors qu’il était recherché aux Etats Unis pour avoir pris l’habitude de se défouler sur sa femme, le soi-disant mari cocufié mérite la potence au lieu de chercher à vouer aux gémonies le juge Angelo Houssou qui en ces difficiles moments n’a fait qu’œuvre de salubrité publique en aidant sa femme.
La Police fédérale des Etats Unis connue sous le nom de FBI ‘Federal Bureau of investigation) est aux trousses de Moussilimou Alao depuis quelque temps. En cavale donc, il a choisi de se faire découvrir en s’attaquant avec des arguties à la vie privée du juge Angelo Houssou au lieu de se taire puisque les Chérifs américains ne l’ont pas encore lâché. Il se compromet alors en se mettant au cœur d’une machination sordide. Moussilimou Alao. Les Béninois doivent dès à présent graver ce nom dans leur mémoire car, la boîte de pandore que celui-ci vient d’ouvrir n’est pas prêt de se refermer. En tout cas pas de si tôt. Il n’y a qu’un homme en panne de masculinité et de virilité qui puisse s’exposer sur la place publique et gongonner qu’il est cocufié.
On se sent outrer en tant qu’homme à voir jusqu’où l’Homme peut s’abaisser, et pour quelle raison si ce n’est pécuniaire. Eh nous voilà arrivés dans l’univers de Moussilimou Alao jonché de révélations impossibles. Car pour raconter sa mésaventure sordide, on l’a fait venir des Etats-Unis, nourri et logé depuis un mois au Novotel pour soixante-dix huit mille francs cfa (78.000) par jour. Pour ceux qui se demandent qui est en fait Moussilimou Alao, la réponse est toute trouvée. Comme tout migrant africain en panne d’imagination et traversant une galère d’enfer aux Etats-Unis, il est un chauffeur de taxi qui se fait passer pour un infirmier en confiant à qui veut l’entendre qu’il a plusieurs enfants afin de bénéficier des avantages dus à son rang de migrant fécond. Aujourd’hui qu’il se compromet davantage avec ses allégations sur le juge Angelo Houssou, il n’aura que ses yeux pour pleurer car il est établi que les bons conseillers ne sont pas les bons payeurs.
Clarence DABANI