Le Bénin a aujourd’hui deux capitales : Cotonou pour Yayi et Paris pour Talon. Il n’y a pas ce jour où le gouvernement n’a pas ses yeux rivés sur la Tour Eiffel. Le bonheur serait au sommet là-bas. L’histoire d’une partie de la fortune de Talon à ramener au Bénin pour sauver les jeunes. Cela vous dit quelque chose ? C’est ainsi le quotidien de l’appareil d’Etat, écartelé entre Paris et Cotonou. Je suis triste, amer et révolté.
Clarence DABANI