Parole à l’écologiste.

ecologisteLa terre, notre héritage commun.

Depuis des années, la relation entre la terre et ses habitants n’est pas des plus reluisantes. De son côté, la terre offre aux hommes tout ce dont ils ont besoin pour leur survie. Grace à sa faune, la terre nous offre de nombreuses espèces animales terrestres et marines, avec la flore, nous avons de multiples espèces végétales, de jolis paysages grâce aux reliefs. Ne pouvons-nous pas dire par ces exemples qu’elle a rempli sa part du contrat qui nous lie à elle? Je pense que OUI. Que remarquons nous en retour chez les terriens ; braconnage des espèces animales et végétales, des parties de chasse informelles, des safaris meurtriers, des coupes abusives entrainant la raréfaction voir la disparition des espèces tant animales que végétales sur tous les continents. Le danger, bien que visible, ne nous inquiète pas. C’est à croire que ceux qui sont aujourd’hui, habitants de la terre n’auront pas de successeurs qui, devront ramasser les pots cassés, pots cassés dont les auteurs ne sont rien d’autre que la génération actuelle.

Plusieurs sommets ont déjà été organisés et consacrés à la terre pour sa survie par les nations unies. Sommet de la terre à : Stockholm en Suède, Nairobi au Kenya, Rio au Brésil, Johannesburg en Afrique du Sud et bientôt Paris en France ; pourtant, la solution pour une planète plus viable et vivable n’a pas encore été trouvée. A côté de la disparition des espèces nous avons aussi le problème de la pollution qui sévie dans les grandes capitales comme Rome, Paris, Mexico, New-York, Tokyo, Lagos, Caire, Pékin et j’en passe. Cette question de la pollution pour laquelle les pays se rejettent le torse, cette question de la pollution pour laquelle les vrais concernés, les vrais auteurs font la sourde oreille, oubliant que chaque seconde qui passe, élargit le trou dans la couche d’ozone.

La surpêche sur les cours et plans d’eaux, les océans, vidés de leurs habitants, la canicule, les feux naturels de végétation, la modification de la durée des saisons en quelques mots, le changement climatique. Se basant sur ces faits, on peut se demander ce que l’homme fait de positif pour la planète bleue. Sur un peu plus de sept (7) Milliards que nous sommes, combien se donnent et s’adonnent à la protection de cette planète bleue ? Est-il juste que pendant que d’autres font tout pour la protéger certains cherchent à la détruire ?

La seule inquiétude actuelle est celle relative à la satisfaction des besoins des générations futures. Qu’allons-nous leur laisser ? Si chaque terrien se disait qu’il n’est pas locataire sur la planète, je suis certain que le visage de la terre serait plus reluisant. Nous avons le devoir de la laisser tel quelle aux générations futures car la terre est notre patrimoine commun. Yann Arthus Bertrand, Nicolas HULOT, Al Gore ainsi que certaines ONG et associations telles que JEVEV ONG, EELV et J.E.E.S ONG le démontrent déjà par leurs actions et attendent sans doute que d’autres leurs emboitent les pas.

Author: Charles

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