(Un cadeau de plus pour le PRD)
Vice-président du bureau sortant, l’Honorable Ahouanvoébla bénéficie à nouveau de la confiance de ses pairs, cette fois-ci pour tenir les commandes du Cos-Lépi.
Dans sa posture du vice-président du Cos sortant, Augustin AHOUANVOEBLA a été l’œil et la main du bureau dans la gestion informatique du traitement de la liste électorale qui a servi en avril et juin dernier. D’ailleurs, ses connaissances techniques et sa disponibilité au Centre National de Traitement (CNT) tout au long de la correction et de l’actualisation de la liste électorale a été saluée par les responsables de ce centre, il est incontestablement le bras technique du Cos-Lépi.
C’est sans doute les raisons qui ont conduit à son élection non plus au poste de vice-président mais cette fois-ci au poste de président Cos-Lépi. Pour s’en convaincre, la liste électorale corrigée et actualisée par le bureau sortant auquel il a appartenu a été approuvée par l’ensemble de la classe politique.
Il va donc sans dire que ce sont ses compétences, son pragmatisme et son sens élevé de responsabilité qui lui ont valu cette célébrité. Elu député en 2007, Augustin AHOUANVOEBLA a efficacement présidé le groupe parlementaire PRD. Et en 2011, par ses scores dans les urnes dans la 20ème circonscription électorale, il a donné un signal très fort qu’il viendra confirmer en 2015 en poussant à la retraite politique des ténors à l’instar de Hélène Aholou Kêkê, Sacca Fikara, Michel Missikpodé…
Ce n’est pas Anjorin Moucharafou, ancien président de la FBF, qui dira le contraire car il n’oubliera jamais la force qui entoure sa candidature à un poste puisqu’il a été le seul capable de le battre dans les urnes et ce par deux fois en moins de deux mois. Ahouanvoébla a l’étoffe d’un chef populaire. Il est porté à un poste, non par nomination mais par la voie des urnes.
Pour être au Cos-Lépi, il faut être sur la liste soumise au vote de la plénière. Et pour être membre du bureau et de surcroît président du Cos, il faut être élu par ses pairs. Pour être au Comité Exécutif de la FBF et briguer sa présidence, il faut remplir les conditions et que malgré les faux procès que certaines mauvaises langues lui font quant à ses charges, l’entièreté desdites charges lui a été renouvelée par ceux qui l’élisent. Et si aujourd’hui ça ne va pas au niveau de l’une des instances qu’il gère notamment le football, tout le monde connaît qui en sont les responsables depuis mars 2015.
De toute évidence, le dernier Cos-Lépi a bien fait et il est à prédire qu’avec son nouveau président il fera encore mieux.