A mesure que 2016 approche, on découvre de nouvelles réalités avec lesquelles il faudra nécessairement composer, si l’on ne veut pas se retrouver en déphasage par rapport aux enjeux. Apparemment, les jeunes et les hommes des médias qui suscitent la candidature du Colonel à la retraite, Louis AKANNI, ne désarment guère. Au stade où ils en sont, plus rien ne saurait empêcher le patriarche de leur retourner l’ascenseur de leur initiative, dans le sillage de l’élection présidentielle du 28 février 2016.
Sans conteste, AKANNI Louis Ola-Adé Adéogba constitue une force politique insoupçonnée. Il faut s’approcher de la poule pour se rendre à l’évidence qu’elle porte des oreilles. Le Colonel à la retraite Louis AKANNI apparaît comme un gisement de vertus et de valeurs inépuisable. On l’aurait inventé s’il n’avait pas existé. Ceux qui suscitent sa candidature à la présidentielle de février 2016 ne finiront même pas de le découvrir entièrement avant l’échéance. « Je ne suis pas un aventurier politique ».
Cette déclaration du vieux sage suffisait déjà pour décourager ses admirateurs, si ces derniers n’étaient pas hyper convaincus de leur initiative. Mais dopés par la sagesse du Colonel retraité, ils sont aujourd’hui décidés à sortir Louis AKANNI de sa réserve de principe, et de sa discrétion formelle, pour l’incliner à prendre position au départ de la course présidentielle de 2016. Ces milliers de jeunes et d’hommes des médias sont prêts à tous les sacrifices, et à faire feu de tous bois, pour porter leur candidat au pinacle, au soir du 28 février 2016. Les stratégies, ils vont les puiser dans les discussions à bâtons rompus avec le sieur AKANNI, qui s’ouvre spontanément à eux, sans complexe ni langue de bois.
Et chaque jour qui passe, leur fait découvrir de nouvelles facettes de l’homme. En conséquence, pour la cause, ils ont fait l’option de quadriller méthodiquement le pays, pour ne laisser aucun espace où les marchands d’illusions ne puissent passer et repasser. Dans cette optique, ils sont déjà en train de mettre sur pied les antennes de proximité, pour la propagande électorale, et ceci, sous le nom fétiche « FANS CLUBS AKANNI ». Et le mouvement a pris, qui fait même peur à ceux-là qui s’investissaient, depuis des lustres, dans cette campagne électorale. Plus rien ne saurait maintenant les arrêter. De Cotonou à Malanville, l’effet AKANNI se propage allègrement, à la grande satisfaction des pionniers du mouvement.
Les étudiants de l’université d’Abomey-Calavi promettent fermement d’être le porte-flambeau de ce mouvement. Ne voulant pas faire les choses à moitié, ou s’accommoder d’une certaine hypocrisie, ils entendent investir bientôt la presse nationale et même internationale, à travers communiqués et déclarations, pour vanter les atouts de leur candidat, qu’ils entendent ainsi sortir de l’anonymat. Le mot d’ordre est sans équivoque : « Rallier simplement le mouvement AKANNI, pour faire autrement la politique au Bénin ».
Et les « FANS CLUBS AKANNI » se multiplient, de façon exponentielle. Les gars sont sûrs de leur affaire, sinon, de leur mentor qui, à leurs yeux, s’impose comme le profil idéal pour conduire efficacement les destinées du Bénin, à partir du 06 avril 2016.