En tournée dans le département de l’Atacora- Donga, l’Ex Pascal I KOUPAKI a soulevé comme jamais au par avant, une foule massive de populations de tous les coins et recoins, venues écouter son message et sa vision du développement du Bénin. PIK en a profité pour vanter les mérites et les vertus de la Nouvelle Conscience qui doit habiter chaque béninois pour un Bénin nouveau..
Contrairement aux habitudes selon lesquelles les leaders à divers niveaux vont se pavaner dans diverses localités à la recherche de potentiels électeurs sur des bases purement ethniques ou régionalistes, Pascal KOUPAKI de plus en plus pressenti pour accéder à la magistrature suprême en 2016 prend son bâton de pèlerin pour aller partager sa vision du développement du Bénin avec ses compatriotes. A Natitingou et à Tanguiéta, il a expliqué sa vision à des milliers de ses concitoyens venus à sa rencontre. Sa vision qui n’est autre que la Nouvelle Conscience préconise la primauté des valeurs sur le vice, le travail, la fraternité, la justice font partie des valeurs clé qu’il prône aujourd’hui, tirant leçon de ses sept années passées au gouvernement.
Celui qui est allé à la rencontre de ses frères de l’Atacora et de la Donga n’est pas un novice dans la gestion de la chose publique. Il sait de quoi il parle et l’expérience l’a forgé, modelé, l’a fait réfléchir, à telle enseigne qu’il est mieux outillé qu’un novice en la matière pour parler des maux qui minent le développement du Bénin et faire des propositions choc pour y remédier.
Il a été très bien accueilli dans la cité des nantos où les populations, les femmes et les jeunes, mais aussi les sages lui ont démontré sa maturité et leur conviction selon laquelle l’ère des considérations ethniques est révolue et qu’elles ont dépassé ces clivages d’une autre époque. Mieux, elles ont pris conscience de la nécessité pour elles de soutenir des hommes d’action et d’expérience comme KOUPAKI dont les atouts et les qualités devront selon elles motiver le choix de sa personne pour briguer la magistrature suprême s’il acceptait le moment venu de se jeter à l’eau. Pour l’heure, ce qui préoccupe KOUPAKI, c’est le simple fait de partager sa vision avec les béninois et de les convaincre de la nécessité d’y adhérer pour un réel développement de notre pays.
Par Clarence Dabani
