Que le peuple béninois ne soit pas étonné que le premier tour de l’élection présidentielle prévue pour le 28 février se couronne par un K.O, car une partie de la classe politique ayant toutes les cartes en main peaufine nuit et jour des plans pour imposer un président aux Béninois.
Les dés sont presque pipés. Il ne faut pas se leurrer. La présidentielle de 2016 ne connaitra pas un second tour. C’est plus que clair dans la tête de certains compatriotes qui s’échinent à longueur de temps à réussir leur sordide ambition. En effet, selon ces derniers dont nous taisons l’obédience politique pour le moment, il faut imposer un président aux Béninois et ce, à travers un K.O plus retentissant que celui de 2011. Ce qu’il convient d’ores et déjà d’appeler un faux K.O surprendra tous les Béninois et surtout la communauté internationale. Si la société civile, l’opposition et les syndicats ne se lèvent pas pour étouffer très vite ces velléités aussi démoniaques que diaboliques dans l’œuf, chaque citoyen n’aura que ses yeux pour pleurer au lendemain du premier tour du scrutin du 28 février 2016.
Erreur politico-électorale
Soyons-en certains. A l’heure actuelle jusqu’à la présidentielle de 2016, aucun Béninois, aussi populaire soit-il, ne peut prétendre sortir des élections du 28 février avec un K.O. Impossible ! Pris sous cet angle, le plan d’un K.O qui est en préparation ne peut à priori prospérer. Mais connaissant le taux de bassesse qui circule dans les veines des différents acteurs politiques, on peut affirmer sans risque de se tromper qu’un K.O en février 2016 est possible. Pas un K.O dans les urnes, mais KO organisé et imposé dans le dessein d’atteindre un objectif. De sources dignes de foi, ce faux K.O va, à la longue, permettre à quelqu’un de revenir plus tard au pouvoir pour finir la sale besogne qu’il a commencée. Nous y reviendrons plus en détails…