Posted on 1 Sep, 2014 | 6 comments

(Il incarne l’espoir de tous les frustrés de la République)

Les élections présidentielles de mars 2016 s’annoncent à grands pas. Dans cette perspective, force est de constater que tous les potentiels candidats sont partagés entre peur et hésitation. Aucun d’eux n’ose lever le petit doigt pour dire qu’il est candidat ni pour proposer des approches de solutions aux réels problèmes des populations. Avec cette situation qui perdure où tous les aspirants au fauteuil présidentiel jouent au cache-cache, l’incertitude gagne le peuple qui commence par désespérer et ne sait plus à quel saint se vouer. Le désespoir, il est là bien assis dans les propos des Béninois. Il est là et prend des allures pathétiques. Qui, aujourd’hui, est en mesure de proposer une alternative crédible ? Voilà la question qui perturbe le sommeil  des Béninois.

Le choix de celui qui doit présider aux destinées d’un Etat ne se fait pas avec des considérations farfelues du genre << Votez pour moi parce que je suis votre fils ou votez pour moi parce que je suis de telle ou telle région >>. Lorsqu’on fait un tel choix dépourvu de toute objectivité, on finit par se rendre compte qu’on a choisi un président gayman, braqueur, dictateur, etc. Or, dans la chaîne hiérarchique des soucis des Béninois, élire un président voyou qui serait un partisan de la philosophie de << Mamadou et Bineta >> serait comme condamner tout un pays à cinq (05) ans de travaux forcés. Pour ne pas en arriver à ce stade où les Béninois vont se retrouver dans une situation d’aliénation morale, certains observateurs de la vie politique estiment que le seul homme qui puisse faire l’affaire des Béninois est AJAVON Sébastien Germain (ASG).

A en croire leurs propos, AJAVON Sébastien Germain (ASG), l’actuel président du Patronat est un joker de taille pour 2016. A y voir de près, leur analyse n’est pas sans fondement. ASG remplit, bien évidemment, pas mal de critères nécessaires pour briguer la magistrature suprême. Primo, c’est un monsieur qui n’est pas à la solde de quelqu’un. Il n’est pas un béni oui oui qui va vendre notre pays aux étrangers. Il est déjà rassasié. Il est le genre de personne qui puisse dire, sans bégayer, qu’il est déjà rassasié avant que la vendeuse d’akassa ne vienne au dehors. Ce qui suppose qu’il ne sera pas un prédateur de l’économie nationale. Secundo, il est un créateur de richesse. De par ses activités commerciales, il apporte 20 à 25% des recettes du budget national. Cela est un atout majeur car, le Bénin qui n’a pas de ressources minières et pétrolières, a effectivement besoin de quelqu’un qui sait déjà créer la richesse. Tertio, il est un homme d’affaires. Tout le monde sait qu’en matière de richesse, ce sont les opérateurs économiques qui créent la richesse. Etant un pur produit du monde des affaires, il aura facilement les leviers pour dynamiser le secteur privé, gage d’une véritable prospérité. De même, en sa qualité d’homme d’affaires, il pourra se révéler comme un bon négociateur. Celui-là qui pourra bien négocier avec les partenaires au développement. Quarto, il est un créateur d’emploi. Or, que veulent les jeunes ? L’emploi bien évidemment. Avec cette casquette de créateur d’emploi, il lui sera aisé de rallier à sa cause toute la jeunesse. De plus, c’est quelqu’un qui s’investit dans le sport. La preuve, il a créé un centre international de formation sportive au profit de la jeunesse béninoise. Mieux, il a été un membre influent de la Fédération béninoise de football. Donc, ASG peut facilement avoir le monde du sport à son actif. Quinto, il est un chef d’entreprise et président du Patronat. C’est pour dire qu’en matière de gestion des ressources humaines, il n’a de leçon à recevoir de qui que ce soit. Il n’est pas un novice. Il sait comment manager les hommes. Il sait comment distribuer les tâches. Il n’est pas le genre de patron qui travaille à la place de ses collaborateurs. Il connaît le rôle qui est le sien : donner des ordres. Il sait qu’un chef, ça ne fait pas de comédie, mais ça commande. Il sait se mettre au-dessus de la mêlée. Donc, diriger un gouvernement serait pour lui un jeu d’enfant. De même, AJAVON Sébastien Germain (ASG) est un habitué des remous des travailleurs. Il sait gérer la fronde syndicale.

Or, que veulent les travailleurs ? Ils ne veulent pas s’alimenter de discours démagogiques. Les partenaires sociaux veulent seulement qu’on améliore leurs conditions de vie et de travail afin d’être productifs. Sixièmement, il est un rassembleur. Dans son entreprise, toutes les composantes sociales de la nation s’y retrouvent. Toutes les soixante-dix-sept (77) communes sont représentées dans son écurie d’employés. Il en est de même de la gent masculine et féminine. Musulmans, chrétiens, animistes, athées et toute autre obédience religieuse y sont. Il incarne donc l’unité. La preuve, il n’est pas aisé de donner ses origines régionales. Qu’on soit de l’Est ou de l’Ouest, du Nord ou du Sud, cela n’est pas son critère de sélection. Son critère de sélection est tout autre. C’est la compétence. Ce n’est pas qui veut qui travaille avec Germain Sébastien AJAVON. Mais qui peut. La compétence est pour lui une sorte de religion. Il adore travailler avec les gens qui ont quelque chose dans la boîte crânienne. Pas avec des gens débarqués de nulle part et qui sont, par excellence, des promeneurs. Avec lui, les politiciens improvisés connaîtront la disette, et les vautours de la république qui massacrent l’économie nationale, perdront leur bec crochu. Ils n’auront plus droit de citer. Ils seront tout simplement classés sur le registre des espèces en voie de disparition. Les médiocres qui se cachent sous les étiquettes politiques et religieuses s’éclipseront de leur propre chef pour laisser place aux intellectuels. La République reviendra enfin aux cadres. Une stagiaire ne sera plus nommée à une haute fonction juste à cause de ses longues et belles jambes ni à cause de sa poitrine provocante. Un apprenti maçon ne sera plus nommé chef service au ministère des travaux publics. De même, avec lui, la prospérité ne sera plus partagée selon l’humeur du chef. Mais, par la loi du mérite. Cette loi du mérite qui encourage l’excellence.

Il incarne donc l’espoir, l’espoir des opprimés, de la veuve, des orphelins, des zems, de tous les frustrés de la république, de ceux-là qui sont fatigués de la clochardisation dont l’ORTB est victime. Bref, il incarne l’espoir des spectateurs joyeux. Or, l’espoir est ce qui nous donne des raisons de vivre, de créer, de rêver à un lendemain meilleur. Septièmement, Avec la Fondation AJAVON Sébastien Germain (ASG), il est l’une des rares personnalités béninoises qui œuvrent pour le bien-être des populations. En construisant, un peu partout, des centres de santé et des modules de classes, par exemple, ASG est un homme du social. Il est au cœur des préoccupations des populations. Il connaît leurs problèmes et il y apporte, avec ses propres moyens, des approches de solution. Le Bénin a besoin des hommes d’action de sa trempe. Pas des gens qui se promènent de mosquée en mosquée ni des gens qui sont des éternels candidats au silence. Huitièmement, il a du charisme. Un chef d’Etat doit avoir du charisme. Il doit être un leader. Quelqu’un dont la démarche suscite respect et admiration. Il ne doit pas être un personnage vulgaire. AJAVON Sébastien Germain a tout pour plaire, pour séduire, pour drainer du monde. La preuve, sans être un chef d’Etat, on lui dresse déjà le tapis rouge quand il va sous d’autres cieux. Lorsqu’il sera un chef d’Etat, imaginez-vous la couleur du tapis qu’on lui dressera. Sans coup férir, ce serait un tapis en or. Et, ce serait tout à l’actif du Bénin. Neuvièmement, il n’est pas un intrus. Il connaît bien les Béninois, et les Béninois le connaissent aussi. C’est un homme du peuple. Il n’est pas comme certains qui jouent égoïstement aux bureaucrates et qui fuient micros et caméras.

Certes, il n’est pas un prophète. Mais les prophéties annoncent qu’il a des rôles messianiques à jouer dans son pays. Dixièmement, il est un patriote. Son patriotisme n’est plus à démontrer. C’est une évidence de dire qu’il a un amour éthéré pour sa patrie. Sinon, il aurait déjà fermé la baraque, laissant les Béninois à leur triste sort. Bref, à l’heure actuelle, il serait difficile de trouver quelqu’un qui ait autant d’atouts que lui. Car ASG n’est pas du genre à donner de l’argent aux gens afin qu’on célèbre sa gloire. Il est déjà célèbre. Et, il sera toujours le chouchou des Béninois. Tant pis pour ceux qui se voient déjà présidents sans être capables d’offrir des stylos et cahiers aux enfants de familles démunies. Car, que veut le peuple ? Du pain et non de beaux discours emballés dans des livrets. A suivre…

Joël Samson BOSSOU