(Le Directeur de cabinet/MEF, Servais Adjovi injustement accusé)
Le dossier relatif aux 438 agents retraités de la fonction publique fait l’objet d’une inutile campagne médiatique. Par ignorance, certains retors s’en prennent gratuitement au Directeur de cabinet du ministère de l’Économie et des Finances, Servais Adjovi dans le but de salir son image et sa crédibilité. Contrairement à ce qui est balancé çà et là, ce dernier n’y est pour rien.
François DJANDJO
Qui accuse-t-on ? Et pourquoi ? C’est la question qui vient à l’esprit dans les agissements qui meublent ce dossier. L’heure n’est plus aux critiques destructrices. Il est temps que chaque citoyen sache son rôle dans la société. Pour le devoir de mémoire, le dossier concernant les 438 agents permanents dégagés de la fonction publique en 1993 et 1998 puis réintégrés par vagues successives en 2000,2004 et 2005 au (MEFPD) a connu une avancée considérable depuis le 10 mars 2015. Il est important de comprendre que le collectif après avoir saisi le ministre Komi Koutché pour ce faire établir des certificats de prise de service à compter du 02 janvier 1987 pour les uns et du 04 janvier 1988 pour les autres, a vu leur dossier transféré au ministre Yaya Aboubakar pour vérification. Le réexamen sollicité par Komi Koutché a eu lieu et par lettres numéros 0638 et 0639/MTFPRAI/DC/SGM/DGFP/DRA/SR/DPEES du 17 avril 2015, le MTFPRAI a confirmé à chacun d’eux la date de son admission à la retraite. Il n’est donc pas évident qu’un tel protecteur puisse devenir du jour au lendemain ennemi et aller contre leurs intérêts. Un seul individu ne peut bloquer le dossier de 438 agents. C’est une des raisons qui lavent l’honneur du Directeur de Cabinet Servais Adjovi, qui est connu par l’ensemble des usagers du (MEFPD) pour la qualité de son travail. C’est un homme qui détient une réaction prompte face à n’importe quel dossier. Que celui qui accuse sorte des preuves palpables. Car ne dit-on pas souvent que « celui qui n’a pas fait l’enquête n’a pas droit à la parole » ? En tout cas, le dossier en question n’est plus au MEFPD, mais plutôt au MTFPRAI.